Faire une étude de terrain n’est pas obligatoire, elle devient primordiale si le gain d’énergie et financière est nécessaire.

Pour faire des économies de temps, d’énergie et financière, l’une des meilleures méthodes est d’étudier son terrain sous différents aspects.

Nous avons la chance, ici de pouvoir le faire et le publier.
Ce deuxième article présentera différentes phases et sera suivis par d’autres pour une évolution au fil du temps.

Chaque article vous permettra de mieux comprendre votre terrain et de pouvoir agir de manière réfléchie.

  1. Observer et collecter les données que l’on voit directement en se promenant dans le terrain.
  2. Analyser et collecter les données extérieures qui influence votre terrain
  3. Choisir sa gestion du terrain

 

Vérifiez les possibilités de micro-climat

Il est tout à fait possible de créer des micro-climat dans votre terrain, pour cela, il est nécessaire de bien inclure les facteurs indirects qui influencent votre propriété.

A ce stade, grâce à vos notes vous avez pu obtenir un croquis avec :

  • les différentes zones de votre jardin selon sa nature du sol
  • des notes sur la faune et la flore
  • le nivellement de votre terrain

Ajoutez-y ces quelques facteurs :

L’orientation et l’environnement de votre terrain

Si vous avez la possibilité de faire des observations durant une année, vous pourrez avoir des données sur les expositions de votre terrain sous les différentes saisons.

Grâce à l’ensoleillement, vous pourrez discerner facilement les 4 coins directionnels ou utilisez les programmes cartographiques satellites.
Prenez note de la direction du vent, certaines plantes aiment le vent, d’autres les supportes froides ou chaudes et d’autres pas du tout.
La direction de la pluie et de ses lieux de dépôts (toits, arbres, …) sont des indications précieuses pour une meilleure gestion de la ressource.

En passant par des services de géoportail, vous pouvez vérifier :

  • des ressources naturelles (nappe phréatique, mine, …)
  • l’historique et les statistique du climat local
  • les influences industrielles dans les environs

Renseignez-vous aussi auprès de votre maison communale s’il y a des informations importantes à savoir ou à transmettre pour la communauté.

Tout cela vous permettra d’avoir conscience des facteurs à risque :

  • les zones d’érosions, d’inondations, de grands vents, …
  • l’historique de votre terrain et de son voisinage

 

Plus votre terrain est important, plus vous aurez à considérez les recherches ; à contrario, plus votre terrain est petit, moins il est nécessaire de recherches ses informations.
Tout simplement parce qu’un terrain plus petit est moins sensible aux facteurs à risques variés.

Lorsque vous aurez récupérez toutes ces informations, il devient alors plus facile de situer les possibilités et ainsi analyser quelle sorte de micro-climat vous avez déjà, celui que vous pourrez obtenir facilement et celui qui vous demandera de réfléchir.

Première analyse

Tenez en compte les influences des structures artificielles et immobilier : les façades gardent et transmettent la chaleur, les haies brises le vent, une mare reflète la lumière, etc.

Trouvez les sources, extrapolez et notez le dans le croquis.
Vous obtiendrez un visuel de la distribution des ressources dont profitent votre flore et votre faune actuelle.

Dans l’exemple, ici, nous pouvons observer :

  • la zone d’occupation a un sol très variable dû à un historique de déchets de construction.
  • l’ensoleillement est existante et est très pauvre particulièrement en hiver
  • la faune et la flore confirment que les données des sources sont stables et constant.
  • Il y a des différences de zones d’assèchements et des zones de micro-climat importants

 

Selon vos nécessités d’information, vous avez pu dépensé soit une soirée de réflexion soit une année de recherche.

Un professionnel, tel qu’un paysagiste, un architecte (de jardin ou de bâtiment), un ingénieur, … peut vous proposer leur service d’analyse.
Faites appels à nos services, contactez-nous